FFC Mobilité - SOLUCAR CLERMONT

La FFC Mobilité se déplace à Clermont-Ferrand

Commençant son tour de France des régions, la FFC Mobilité – Carrossiers Réparateurs vient de tenir sa première réunion d'informations dans le Centre de la France. Un rendez-vous porteur qui confirme une fois encore les besoins des professionnels en matière de représentation professionnelle.

Ce point d'étape des équipes de la FFC Mobilité s'est tenu au cœur des volcans d'Auvergne, à Clermont-Ferrand. A l'initiative de Benjamin LABONNE, président FFC Mobilité – Carrossiers Réparateurs Auvergne, accompagné d’Isabelle RINGUENOIRE, Présidente FFC Mobilité – Carrossiers Réparateurs de la Région Rhône-Alpes, a réussi à fédérer une vingtaine de participants, venus connaître les actions de la Fédération. L'occasion de se tenir au courant des travaux quotidiens de l'organisation professionnelle, et, pourquoi pas, de rejoindre les rangs des adhérents. La réunion accueillait des carrossiers de tous horizons, indépendants, sous enseigne, artisans ou agents de marque. La FFC met en effet un point d'honneur à apporter des services à valeur ajoutée à l'ensemble de la filière.

Après l'accueil de Benjamin LABONNE, Christophe BAZIN, secrétaire Général de la FFC Mobilité – Carrossiers Réparateurs, a débuté son intervention par la traditionnelle présentation de la FFC et de sa branche des réparateurs. L'idée consistant à resituer notre organisation sur l'échiquier professionnel et montrer le positionnement unique de la FFC face aux autres organisations. Et de préciser les services uniques tels que FFC Experts, notre plateforme d'assistance juridique, fiscale, notariale, et comptable, totalement gratuite pour nos adhérents, qui remporte un grand succès. Mais également d'évoquer FFC Communication, service d'accompagnement dans la communication des entreprises à prix contenus.

Puis Christophe BAZIN a brièvement présenté les évolutions de la plateforme informatique de cession de créance TRIBU, mise au point par la FFC, et visant à donner au réparateur non-agréé le règlement direct du sinistre en lieu et place du client. Cette nouvelle version a été lancée le 2 juin au matin sans supplément tarifaire pour les utilisateurs. Puis Christophe BAZIN a souhaité rappeler aux carrossiers présents quelques évolutions réglementaires qui impactent leur activité, telles que leurs obligations en termes de médiation commerciale, ou encore l’affichage du nouvel arrêté sur la PIEC, et les contrôles de sécurité, souvent oubliés.

Par la suite, Maitre Nicolas LARONDE-FOURNIER, huissier, est venu présenter sa démarche d'accompagnement pour les entreprises rencontrant des difficultés de règlement.

Aurélien LAGERE, gérant d’une entreprise de communication, est ensuite intervenu pour expliquer comment et pourquoi digitaliser sa relation client.

La FFC Mobilité – Carrossiers Réparateurs remercie à nouveau MAURER SARL, distributeur de peinture local, pour son soutien logistique lors de cette réunion instructive et conviviale.


tachygraphe - FFC Constructeurs - Réglementation

Tachygraphe intelligent : la solution de la FFC Constructeurs retenue par les pouvoirs publics

Selon la réglementation européenne, il est interdit d’immatriculer des véhicules à date du 15 juin non équipés de tachygraphes intelligents. […]

tachygraphe - FFC Constructeurs - Réglementation

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Le Scarabée d’Or enfin dévoilé…

C’est au Musée des Arts et Métiers que le Scarabée d’Or a été dévoilé dans toute sa splendeur. C’est grâce au travail acharné des étudiants et des lycéens, soutenus par les partenaires de l’Association "Des Voitures et des Hommes" que ce véhicule a pu être reconstruit à l’identique.

La Citroën B2 10 HP modèle K1 fut la première voiture à traverser le Sahara en décembre 1922. Voici, en quelques chiffres, le résumé de ces quatre dernières années de travail :

  • · 160 étudiants et lycées
  • · 40 professeurs et « encadrants »
  • · 50 000 heures de travail
  • · 71 500 kg de métaux
  • · 130 000 € de budget
  • · 25 000 € de frais
  • · 55 000 € de temps offert par les mécènes
  • · 5 000 km parcourus
  • · 11 sites de productions français.

C’est devant un parterre de personnalités et de journalistes que le Scarabée d’Or a été dévoilé. Et parmi les partenaires du projet était présent Glasurit (Marque premium du groupe BASF) grâce à qui le Scarabée d’Or a retrouvé sa superbe robe d’antan. Etaient également présents : Le Musée des Arts et Métiers, Ensam, Le Lycée Château Epluches, Citroën, Silveo…

Glasurit, un partenaire clé dans la restauration de cette merveille !

La technologie de Glasurit a en effet permis de retrouver la peinture et la teinte d’origine du véhicule à partir de traces trouvées sur des éléments cachés et préservés de la carrosserie du Scarabée d’Or de 1922. Le véhicule était d’un blanc qui tirait légèrement sur un vert d’eau. Glasurit a recréé la teinte et les élèves du lycée professionnel Château d’Epluches l’ont appliquée. Il s’agit d’un système de peinture composé de deux couches. La sous couche est réalisée dans le coloris de finition sur une base chimique de type "ester d’époxy, acrylique uréthane", ce qui permet d’obtenir les caractéristiques suivantes :

  • · Une excellente adhérence directe sur les supports en acier
  • · Un fort pouvoir garnissant pour combler les marques de grenaille
  • · Une très bonne protection anticorrosion
  • · Une protection anti-gravillonnage - nécessaire pour le châssis

Cette sous-couche a ensuite été recouverte d’une couche de finition de type acrylique uréthane, qui apporte :

  • · Une couleur et un brillant conformes aux valeurs d’origine
  • · Une uniformité d’aspect avec les autres éléments de carrosserie
  • · Une protection contre les UV et les intempéries durables

Glasurit a également "formé" certains étudiants de l’Ecole d’Art Mural de Versailles aux techniques les plus élaborées de mise en peinture au Refinish Competence Center de Montataire. Tandis que d’autres se sont entrainés pour réaliser à main levée le logo du Scarabée d’Or, un exercice très difficile quand on sait, qu’in fine, ils n’auront droit qu’à un seul essai sur le véhicule.

 

Lors de son intervention, Erwan Baudimant, Responsable du département des Ventes Peintures de Réparations Automobiles France et Afrique du Nord – BASF France Division Coatings, a déclaré : "Glasurit est fière d’avoir pu participer à ce projet d’une envergure exceptionnelle. Grâce à l’association ‟Des voitures et des Hommes”, nous avons pu contribuer à la sauvegarde du patrimoine français, au côté de partenaires prestigieux. Ce projet a fédéré un grand nombre de professionnels, dont nous partageons les valeurs. Et puis, c’est aussi grâce à Scarabée d’Or que nous avons pu intégrer un nouveau coloris dans notre base de données Classic Car Colors, le ‟Blanc Sahara”".


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SOLUTRANS placé sous le haut patronage de Monsieur Emmanuel MACRON, Président de la République Française

Particulièrement attentif au développement, au sein de la filière automobile, de solutions de transports tenant compte de la nécessité de lutter contre le dérèglement climatique, Monsieur Emmanuel MACRON apporte son soutien officiel à SOLUTRANS, en le plaçant sous son haut patronage.

Ce soutien attendu est le résultat d'un vaste travail mené depuis plus d'un an par Patrick CHOLTON, président de la FFC et de SOLUTRANS, auprès des pouvoirs publics. Les ministères du Transport, de l'Economie ou de l'écologie s'étaient déjà montrés plus que réceptifs aux problématiques de notre filière et aux sujets traités sur SOLUTRANS. Elisabeth BORNE, ministre des Transports, avait inauguré le Salon en 2017, aux côtés des pouvoirs publics suédois, confirmant ainsi la position de l'Evènement au sein des filières française et internationale. Un succès qui a raisonné jusqu'aux portes de l'Elysée, et a abouti à la conception des thèmes de SOLUTRANS 2019 en relation étroite avec la Présidence de la République et son secrétaire Général, Alexis KOHLER.

Le Haut Patronage de Monsieur Emmanuel MACRON offre une crédibilité supplémentaire à SOLUTRANS, un salon résolument ancré dans son époque, sa filière, en accord avec la vision des pouvoirs publics sur l'avenir des métiers qu'il représente.

 


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40 000 emplois à pourvoir dans la Filière VI-VU

Parmi les secteurs qui affichent un fort développement, le Véhicule Industriel et Urbain tient une place de premier choix. Tous les acteurs de la Filière lancent des campagnes massives de recrutement, à tous les niveaux de leurs activités.

La FFC, fidèle à sa mission et forte de ses travaux et partenariats avec les Chambres de Commerce et d'Industrie, les régions de France, Pôle Emploi et Monster, soutient toutes les initiatives destinées à assurer la pérennité des entreprises.

Au cœur de la filière VI-VU, près de 4 000 entreprises regroupent plus de 23 000 collaborateurs, pour environ 5 000 jeunes en formation chaque année, tant dans le secteur du commerce que de la réparation des véhicules. Ce vaste secteur rassemble les entreprises qui conçoivent, vendent et entretiennent les camions, bus et cars, véhicules utilitaires légers, affiliés ou non aux constructeurs, puisque les problématiques d'emploi dépassent aujourd'hui largement les clivages concurrentiels.

Recrutements à tous les niveaux

Et la Filière ne manque pas d'ouvertures. Ses métiers peuvent s'exercer dans différents secteurs : entreprises de transport, garages spécialisés dans la maintenance de véhicules industriels, concessionnaires, constructeurs de poids lourds, d'autocars ou d'autobus. On parle même d'au moins 40 000 emplois à pourvoir chez les constructeurs VI, DAF, MAN, Iveco, Mercedes-Benz Trucks, Scania, Renault Trucks, Volvo Trucks. Mais également chez les équipementiers, carrossiers…, qui ne manquent pas non plus d'atouts pour séduire les futures forces vives de leurs métiers, en raison de l'importante croissance de la demande, trop peu anticipée en France. D'autre part, la reprise récente des ventes de véhicules s’est traduite par une croissance des entrées ateliers sur le marché de l’après-vente. On notera également un regain d'intérêt pour les métiers du service, en raison de l’évolution de la nature des interventions (pannes moins fréquentes mais plus complexes avec souvent plus d'électronique et moins de mécanique).

Des nouveaux métiers qui dépoussièrent la Filière

Contrairement à une idée très largement répandue, les innovations technologiques apparaissent bien souvent dans le Véhicule Industriel bien avant le véhicule particulier. En cause, les obligations réglementaires auxquelles doivent se soumettre les constructeurs VI. Intégrer la Filière VI-VU revient à faire carrière dans un secteur à la pointe de l'innovation.

Par exemple, les camions peuvent, dès aujourd’hui, être diagnostiqués à distance via des capteurs permettant de suivre l’évolution de certains éléments (freins, huiles, batteries, cartouche d’air, pneus, dispositifs de dépollution). Grâce à la connectivité et à la télématique, ces données techniques sont transmises aux services après-vente (SAV) via des serveurs informatiques. L’exploitation des données exige des compétences à la fois techniques, informatiques mais aussi commerciales afin de relancer ou capter le client pour indiquer les recommandations émises par le système ou juger de l’urgence de la réparation.

Rejoindre la Filière du Véhicule Industriel et Urbain, c'est aussi la promesse d'embrasser une carrière excitante, au sein d'entreprises prestigieuses, dynamiques, puissantes et en prise avec les grands enjeux sociétaux actuels. L'avènement des nouvelles technologies, leur développement, mais également l'avenir du mix énergétique et la place que prendront l'électricité, le gaz, le diesel, l'hydrogène…, l'impact des réglementations et les moyens d'y répondre de la meilleure manière, l'échiquier concurrentiel, la mise en place des ZFE (Zones à Faibles Emissions) …, autant de sujets à appréhender pour les futures forces vives de de la Filière, qui devront faire preuve d'ouverture et de polyvalence.

Nombreux débouchés

Choisir la Filière du Véhicule Industriel et Urbain, c'est choisir une Filière sans chômage ! 75% des apprentis de la Filière Véhicules Industriels trouvent un emploi moins de sept mois après la fin de leur formation. Les besoins en recrutement portent particulièrement sur les profils de techniciens car le développement exponentiel des technologies sur les camions accroît la nécessité de disposer de leurs compétences en matière de diagnostic et d’électronique. En conséquence, pour attirer ou fidéliser la main d’œuvre, les entreprises n'hésitent pas à pratiquer des rémunérations supérieures au prix du marché, parfois de près de 25 %. Certaines choisissent également, dans une logique d’anticipation, de développer des actions de formation destinées aux jeunes, à des publics en reconversion ou aux salariés en poste (requalification au niveau CQP Technicien Confirmé).

Evolution des métiers

Alors qu'il y a quelques années, les métiers du Véhicule Industriel étaient plutôt cloisonnés, les barrières ont peu à peu disparu, au rythme des évolutions du marché. Par exemple, les professionnels de l’entretien et de la réparation de VI ont réorganisé leurs activités et réintègrent des activités auparavant sous-traitées comme la préparation au contrôle technique, la prestation pneus, la carrosserie, le vitrage, etc.). Mais également en diversifiant leurs activités (VUL, location, prestation de formation à l’écoconduite hors vente de véhicule, etc.). La réception active ou dynamique, qui consiste à réaliser un premier état des lieux du véhicule en présence du client et avec une tablette, afin d’optimiser le flux d’entrées atelier (automatisation de l’édition d’ordres de réparation, de factures et de la commande de pièces) fait aussi partie de ces nouvelles activités qui démontrent la technicité des métiers, mais également le dynamisme des acteurs et surtout l'attrait de toute une Filière.

Parce que l'emploi et la pérennité de la Filière constituent des enjeux majeurs pour la FFC, nous travaillons au quotidien à offrir les meilleurs outils de formation et de recherche d'emploi. Nous vous invitons à venir consulter l'ensemble des offres de la Filière en direct sur SOLUTRANS, sur notre Forum EMPLOI.


Remise du Trophée par IRP auto aux représentants des jeunes du GARAC

IRP AUTO Solidarité-Prévention récompense le GARAC pour son action préventive

 

Le GARAC, l’Ecole nationale de la Profession, remporte le Trophée Solidarité-Prévention 2018, décerné par IRP AUTO.

Le Campus national de la Profession a répondu à l’appel d’IRP Auto Solidarité-Préventionqui a créé cette année les Trophées Solidarité Prévention qui récompensent une initiative originale de prévention ou de solidarité dans les entreprises ou institutions.

Le GARAC avait organisé en début d’année scolaire une « Safety week » avec le concours de nombreux partenaires qui a permis d’initier, dès leur arrivée, tous les nouveaux apprentis et élèves de CAP et de BAC Pro à différentes thématiques de sécurité, d’hygiène et d’environnement.

Le Groupe Chimirec est intervenu sur le thème du Tri et du Recyclage des produits d’atelier, le CNPA sur la Sécurité en atelier, IRP auto et l’ANFA sur la Sécurité routière grâce à un jeu géant « les As de la Route ». Les équipes du GARAC ont développé « Addicto Quizz » proposé par IRP, exposition, sensibilisation aux produits dangereux et à l’hygiène.  La Police nationale a effectué un contrôle des 2 roues à la sortie des cours.

L’ensemble de cette SAFETY WEEK s’inscrit dans le cadre de la politique de sécurité et de prévention menée par le GARAC tout au long du cursus scolaire. L’objectif est de préparer les jeunes à leur responsabilité, non seulement de citoyens, mais aussi de futurs professionnels du Monde de l’Automobile.  

Photos: Remise du Trophée par IRP auto aux représentants des jeunes du GARAC

Contact presse GARAC : Catherine Rajalu crajalu@garac.com, 01 34 34 37 44

 

Le GARAC est l’École nationale des Professions de l’Automobile. Il a été créé en 1948. Son conseil d’administration est composé du CNPA, du GNESA, de la FFC, du CCFA, de la CSIAM, de la FEDA et de la FIEV. Il a formé plus de 24 000 jeunes depuis plus de 70 ans.

Le Garac, grâce à son Lycée des Métiers et son CFA, accueille 1 350 jeunes lycéens et apprentis en formation dans :

  • 3 filières : Auto, Moto et Véhicule de Transport routier
  • 3 domaines de métiers : Mécanique-électronique, Carrosserie réparation-peinture et Carrosserie construction, Vente-Gestion

Et pour 22 diplômes d’État et de la Profession :

  • CAP, BAC Pro, CQP, BTS, Licence, Ingénieur.

Les jeunes viennent du Val d’Oise, de l’Île de France et de toute la France grâce aux internats et aux résidences Etudiants ouverts à ceux qui le désirent.

52  jeunes filles sont en formation. Chaque année depuis 4 ans, leur nombre augmente au sein des effectifs.


FFC, Débosselage, Grêle, Allory

Réunion stratégique annuelle de L’Association Réseau Débosselage Français

Après Villepinte en 2018, Anthony ALLORY, le président de l’Association Réseau Débosselage Français, a choisi la décentralisation, pour installer sa réunion annuelle à Sens (89).

Les 30 membres se réunissent désormais deux fois par an, en dehors des périodes de grêle, afin d'ajuster leurs actions en temps réel. La première journée de cette rencontre a été consacrée aux démonstrations de produits spécifiques au métier mais aussi de nouveaux produits innovants, permettant aux professionnels du débosselage de se diversifier ou de gagner en productivité.

Le lendemain, une réunion de travail était organisée, afin d’évoquer les problématiques légales rencontrées sur le terrain. Et c'est Patrick NARDOU, Président de la FFC Mobilité Réparation et Services ainsi que son Secrétaire Général, Christophe BAZIN, qui étaient invités à s'exprimer sur cette problématique, en raison des nombreuses rencontres qu'ils organisent chaque année en région avec leurs adhérents, notamment les carrossiers-réparateurs.

Le libre choix du réparateur a bien sûr été évoqué, car souvent bafoué par les assureurs, lors des précipitations de grêle. En effet, en dépit des dispositions légales, ils n’hésitent pas à orienter les assurés sinistrés vers des centres d’expertises et de débosselage souvent montés "à la va-vite", sans structures d’accueil et de travail conformes à la législation.

Certains indélicats peuvent aller jusqu'à recourir à une main d’œuvre détachée massive, illégale, en cassant les prix, et en créant de fait une concurrence déloyale face aux débosseleurs français, qui agissent, eux, dans le respect des lois, en qualité de réparateurs de proximité, tout comme les carrossiers-réparateurs.

La FFC Mobilité Réparation et Services, partenaire depuis juillet 2017 de l’Association Réseau Débosselage Français, s’est attelée à sensibiliser les pouvoirs publics sur ces manquements récurrents. Par ailleurs, afin de limiter ces pratiques, la FFC Mobilité Réparation et Services encourage ses adhérents à contacter les adhérents locaux de l’Association Réseau Débosselage Français dès les premières chutes de grêles, afin de pouvoir traiter les sinistres dans les carrosseries choisies par les assurés.


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La réforme de l'apprentissage au cœur des préoccupations de la FFA

Le 24 avril dernier, la FFA et son président, Claude ALZINA ont organisé une vaste réunion d'informations portant sur la réforme de la formation professionnelle et de l'apprentissage.

La réunion s'est déroulée dans les locaux de la Chambre des métiers et de l'Artisanat de Nice, avec le soutien de la préfecture des Alpes-Maritimes, qui avait délégué Françoise TAHERI, sa secrétaire Générale, pour échanger avec les participants.

Cette réforme constituant un enjeu majeur pour les métiers de la Filière, Claude ALZINA avait convié la FFA Régionale du Var et son Président, Roland ROLFO, également Président de la Chambre des Métiers et de l'Artisanat du Var. La FFC était représentée par Roger ROBLES, tandis que le CNPA, également invité, avait mandaté Guy AUBERT, délégué Régional PACA. La FFA 06 était représentée par Corine OLIVER, sa vice-présidente et présidente du Conseil de la Formation PACA, tandis que la Chambre de Commerce de Nice avait mandaté son vice-président Laurent LACHKAR. Enfin, l'U2P était représentée par Carine PAPY, secrétaire Générale du 06.

A l'issue du tour de table de présentation, Bernard DELMOTTE, directeur de la DIRECCTE UT 06, a présenté un état des lieux local, régional et national de l'apprentissage, mettant notamment en lumière le manque de dynamisme des Alpes-Maritimes sur le sujet. A ce titre, les nouvelles aides à l'embauches des apprentis ont été largement présentées par Françoise TAHERI, afin d'informer et, pourquoi pas, motiver la cinquantaine de participants présents dans la salle.

Puis le débat s'est porté entre les professionnels et les représentants des pouvoirs publics, sur la pertinence de l'apprentissage tel que pratiqué en France. L'occasion pour Claude ALZINA et Roland ROLFO d'insister auprès de l'assemblée sur la nécessité de former des apprentis en nombre, pour assurer la pérennité de nos métiers. Une réunion très instructive entre passionnés du métier, qui s'est ensuite clôturée autour d'un cocktail, à l'initiative de la FFA.


FFA-FFC-NOUVEL ADHERENT

La FFA rejoint la FFC

La FFA (Fédération Française de l'Automobile) vient de rejoindre les rangs de la FFC Mobilité Réparation et Services. Une décision qui salue le rapprochement initié il y a plusieurs mois. Désormais, les plus de 150 membres de la FFA disposent de la vaste palette de services mise à leur disposition par la FFC.

A l'issue du dernier conseil d'Administration de la FFA (regroupant l'ex–FNA 06 et FNA 83), les membres élus ont unanimement choisi de faire confiance à la FFC Mobilité Réparation et Services, pour les représenter au plan national et international.

Depuis près d'un an, Patrick CHOLTON, président de la FFC, Patrick NARDOU, président de la FFC Mobilité Réparation et Services ainsi que Christophe BAZIN, secrétaire Général de la FFC Mobilité Carrossiers Réparateurs, travaillent en étroite collaboration avec Claude ALZINA, président de la FFA, pour définir les contours du partenariat permettant aux deux entités de se rapprocher.

C'est aujourd'hui chose faite, la FFA devenant adhérente de la FFC, et ajoutant ainsi ses plus de 150 entreprises au dispositif de la FFC Mobilité Réparation et Services.

Dans un contexte compliqué pour les métiers des Services à l'Automobile, en raison de la baisse de sinistralité, de la concurrence exacerbée, des réglementations en perpétuelle évolution, ou encore des relations parfois tendues avec les assureurs, il est plus que jamais indispensable de faire partie d'une organisation professionnelle puissante.

Depuis plus de 170 ans, la FFC se donne pour mission de libérer ses adhérents des contraintes périphériques à leurs métiers. Cela pour assurer la pérennité, tant de leur activité que de la Filière. C'est à ce titre que les adhérents de la FFA viennent aujourd'hui chercher à la FFC son expertise dans le suivi des métiers de la Filière.

Au quotidien, la FFC, seule organisation professionnelle à représenter à la fois l'amont et l'aval de la filière, observe les évolutions des métiers, assiste ses adhérents, défend leurs intérêts auprès des pouvoirs publics, et leur fournit les outils nécessaires à des relations saines avec leurs apporteurs d'affaires.

Parmi les travaux récents menés par la FFC Mobilité, on citera notamment la forte implication de la Fédération dans le cadre de la loi sur la PIEC (Pièce issue de l'Economie Circulaire). Mais également l'énergie mise au service des adhérents dans l'épineux dossier de la fin du monopole des constructeurs français sur la pièce de carrosserie, dont la loi vient d'être promulguée.

En parallèle, la FFC mène depuis des années un combat incessant en faveur du libre choix du réparateur par l'automobiliste. L'objectif consiste à mieux faire comprendre à l'automobiliste que, malgré l'insistance de certaines plateformes d'assureurs à favoriser leur réseau d'agréés, le conducteur peut, tout à fait légalement, emmener son véhicule sinistré où bon lui semble.

La FFC Mobilité a même créé un outil spécifique nommé TRIBU, permettant de faciliter la cession de créance (indemnisation du sinistre), le procédé permettant au client de transférer la créance au professionnel carrossier. Evitant ainsi à l'automobiliste d'avancer les frais.

 En termes d'assistance quotidienne, les adhérents FFA bénéficient également désormais du service FFC Experts, leur permettant de disposer gracieusement d'une assistance notariale, sociale, juridique pour tous les problèmes de gestion de personnel, de succession…

Enfin, d'autres services à valeur ajoutée, touchant à la communication, à l'emploi, la formation, ou même aux partenariats tissés avec les fournisseurs, ont séduit la FFA. Sans oublier que les adhérents bénéficient également de l'expertise de la Fédération dans l'organisation des Salon. En effet, la FFC est co-propriétaire d'EQUIP AUTO, Salon International de l'Après-Vente Automobile et des Services pour la Mobilité. Mais également propriétaire du salon SOLUTRANS, Salon International des Solutions de Transport Routier et Urbain. Deux évènements majeurs de la Filière, qui confèrent à notre organisation une vision large et réaliste de nos secteurs, ainsi que des relations privilégiées avec les pouvoirs publics.

La FFC est heureuse et fière d'accueillir la FFA dans ses rangs, une force supplémentaire pour participer activement au développement de la branche FFC Mobilité Réparation et Services. De son côté, la FFC mettra toute son énergie à apporter les services les plus adaptés aux nouveaux métiers qui la rejoignent, dépanneurs, réparateurs et autres représentants des Services à l'Automobile.


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Engie et EDF, quelles différences ?

Aujourd'hui, Opéra Energie, Partenaire FFC dans le courtage en énergie, nous explique qu'EDF n’est pas et n’a jamais été Engie, (ex GDF et GDF SUEZ). Si elles ont toujours été distinctes l’une de l’autre, Engie et EDF ont néanmoins longtemps été des entreprises complémentaires… En revanche, aujourd'hui, Engie et EDF sont deux fournisseurs concurrents de gaz et d’électricité. Les éclaircissements de Jean-Sébastien DEGOUVE, Président d'Opéra Energie.

Pourquoi confond-on Engie et EDF ?

 L’amalgame est répandu et s’explique aisément : il fut une très longue période où les deux fournisseurs étaient seuls acteurs du marché de l’énergie en France, chacun dans un secteur spécifique.

A EDF, le monopole de la production, du transport et de la distribution de l’électricité, tandis qu'Engie (ex-GDF-Gaz de France -puis GDF SUEZ) exploitait le monopole du gaz.
En outre, EDF et GDF partageaient certains services : EDF GDF Distribution. Bien que n’ayant pas d’identité juridique propre, et n’ayant pas le statut de filiale, EDF GDF Distribution appartenait aussi bien au groupe EDF qu’au groupe Gaz de France qui en partageaient la direction et les équipes.

Cette mainmise sur l’énergie aura duré plus de 50 ans, de la fin de la seconde guerre mondiale à l’orée des années 2000 :  aujourd’hui, il est plus que temps de mettre à bas un demi-siècle d’idées reçues et de rappeler que Engie est bien différent d’EDF !

Qu’est-ce qui distingue Engie de EDF ?

Avec l’ouverture à la concurrence des marchés de l’énergie, EDF comme Engie ont dû filialiser leurs activités de gestion de transport et de distribution pour se recentrer sur leurs seules activités de fourniture d’énergie.

Depuis le 1er janvier 2008, les activités d’EDF Gaz de France Distribution sont transférées dans deux entités : Électricité Réseau Distribution France (ERDF, devenu Enedis le 31 mai 2016, filiale du groupe Électricité de France) et Gaz Réseau Distribution France (GRDF, filiale du groupe Gaz de France devenu Engie en avril 2015).

De leurs statuts de fournisseurs historiques, il subsiste une trace : exception faite des ELD (entreprises locales de distribution), seul EDF peut commercialiser de l’électricité aux tarifs réglementés, comme seul Engie peut commercialiser du gaz aux tarifs réglementés. Rappelons que les tarifs réglementés sont des tarifs fixés par les pouvoirs publics, à la baisse comme à la hausse, au contraire des tarifs dits de marché, qui sont fixés librement par contrat.

Cependant, libéralisation du marché de l’énergie oblige, EDF propose désormais des offres d’électricité à prix marché ainsi que des offres alternatives de gaz, à combiner ou non. De même, Engie a développé ses propres contrats de fourniture de gaz comme d’électricité à prix marché.

Pour résumer, EDF ne veut plus systématiquement dire électricité et, a contrario, Engie n’implique plus forcément de fourniture de gaz.