Le plus petit 3,5 t à nacelles du genre

En adaptant une nacelle de marque Palfinger sur son châssis, le Fuso Canter en version 3S13 (cabine étroite de 1,695 m de large et PTC de 3,5 t) offre une longueur de 4,5 m et une largeur totale de 1,82 m ! Bref, ce Canter nacelle est le plus petit équipage du genre, ce qui lui permet de se faufiler partout...


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L'édition 2017 se prépare

Pour sa prochaine édition, Solutrans se tiendra du 21 au 25 novembre 2017. Dès l'entrée dans le hall 4 de Lyon Eurexpo, les visiteurs pourront découvrir le nouveau centre de conférence Norbert Detoux, en hommage au fondateur du salon de la carrosserie et à celui qui « inventa » le nom de Solutrans, évoquant les solutions de transport que proposent les carrossiers et le salon de la carrosserie. Jusqu'en 1995, ce salon n'avait lieu qu'avec, le Salon de Paris et le Mondial de l'auto et dans leurs ombres. Il a repris en 1999 à Lyon sous le nom de Solutrans, salon de la carrosserie industrielle. Detoux voulait lui donner une véritable identité et une envergure nationale et internationale. Si le salon honorera Detoux, ce n'est pas uniquement parce qu'il nous a quitté en juillet dernier (voir 43248) ; il fut le créateur de Solutrans et un grand défenseur de la profession auprès des pouvoirs publics par le biais de la Fédération Française de Carrosserie, dont il fut également président de 1988 à 2003. Dès à présent, pour assurer le succès de Solutrans 2017, les organisateurs proposent une version anglaise du nouveau site web de cette manifestation : www.solutrans.eu (en plus de la version française www.solutrans.fr, bien entendu).


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SOLUTRANS 2017 sur de bons rails

La prochaine édition de Solutrans semble attractive : selon la FFC, le nombre d’exposants ayant déjà réservé leur stand est nettement supérieur à celui de la même période en 2014.

La 14ème édition de Solutrans, le Salon international des solutions de transport routier et urbain, qui se tiendra du 21 au 25 novembre 2017 à Lyon, se présente sous les meilleurs auspices. Selon laFédération française de carrosserie (FFC), propriétaire de l’événement bisannuel, la commercialisation des espaces d’exposition « atteint un taux nettement supérieur à celui de 2015 à la même période ».

De bon augure pour cette édition 2017 qui sera placée sous les thèmes des nouvelles motorisations (gaz, bioéthanol, hydrogène, électrique, etc.), du véhicule connecté, de la livraison en hyper-centre, de la formation et de la carrosserie du futur. Pour faciliter le travail des exposants, les organisateurs ont d’ailleurs innové avec une offre de stand clé en main. Pour présenter l’ensemble de son offre, le Salon du transport routier bénéficie, en outre, d’un nouveau site web et mobile.

Pour mémoire, Solutrans 2017 sera marqué par un nouvel événement : l’attribution du prix « véhicules industriels et urbains, l’homme de la filière ». Ce trophée sera décerné à une personnalité ou une organisation, française ou étrangère, qui porte les valeurs et les engagements de la FFC et qui se démarque par sa capacité en matière d’innovation et de formation. Le jury de ce prix sera composé de journalistes et d’experts de la filière sur les questions économiques, sociales, techniques et environnementales.


Dieter Zetsche réélu président de l'Acea pour 2017

Le PDG de Daimler, Dieter Zetsche, a été reconduit par l'Acea (Association des constructeurs européens d'automobiles) dans ses fonctions de président de cet organisme pour 2017. Rappelons que l'Acea représente le 15 constructeurs européens de voitures, Vul, camions et bus/cars.


Une taxe de 11 euros sur l'immatriculation des plus de 3,5 t

Le site du Figaro économique attire l'attention sur une nouvelle taxe adoptée mercredi dernier à l'assemblée : lors de toute nouvelle immatriculation, les propriétaires de véhicules de plus de 3,5 t (neuf ou d'occasion) vont devoir s'acquitter d'une taxe de 5 à 20 euros (soit 11 euros en moyenne). Selon notre confrère, cette taxe était souhaitée par la profession du transport routier afin de financer en partie le comité national routier (CNR), un organisme qui a pour mission l'observation économique du marché, des travaux de recherche et des études socio-économiques (et par ailleurs financé majoritairement par une subvention de l'État, qui la réduit d'année en année)... Ainsi calibrée, cette taxe devrait rapporter 800 000 euros de recettes


Alain Vidalies interpelle les pays européens sur l'avenir du transport routier de marchandises

Alain Vidalies, secrétaire d'Etat chargé des Transports, a participé hier à Bruxelles à la réunion du Conseil des ministres européens des transports. A la demande de la France et de l'Allemagne, le Conseil a débattu de l'avenir de la politique du transport routier de marchandises, victime d'une concurrence déloyale reposant fortement sur le dumping social. Il s'agit d'un enjeu prioritaire pour le gouvernement français. Lors de son intervention, le secrétaire d'Etat a fermement dénoncé « la fraude sophistiquée » dans ce secteur et le détournement des règles européennes du marché intérieur, et défendu la création d'une Agence européenne du transport routier. La France est déterminée à « avancer plus vite aux côtés de ceux qui veulent défendre une Europe attachée tout autant à son marché unique qu'à ses valeurs fondamentales comme le respect des droits sociaux et la protection des travailleurs » a-t-il souligné. Retrouvez la vidéo de l'intervention d'Alain Vidalies et le débat en Conseil en cliquant sur le lien ci-dessous.


Constructeurs et équipementiers proposent la création d'une plateforme d'accès aux données du véhicule pour les tiers

Les représentants des constructeurs et des équipementiers européens, l’Acea et le Clepa, ont annoncé hier qu’ils souhaitaient travailler à une solution "alternative" à l’accès direct aux données du véhicule par des acteurs tiers. Ils proposent la création d’une plateforme externe dédiée.

Avec l’émergence du véhicule connecté, l’accès aux données du véhicule devient un enjeu de premier plan pour les différents acteurs du marché automobile y compris les assureurs, les financeurs, les opérateurs d’infrastructures et les fournisseurs de services. La réglementation de cet accès, pour qu’il soit sécurisé et sans risque de piratage pour les automobilistes, est actuellement en discussion au niveau européen mais également à l’échelle nationale.

"Les constructeurs automobiles sont fondamentalement disposés à partager avec des tiers des données pertinentes des véhicules, à condition que cela se fasse strictement dans le but d’améliorer la sécurité des routes et des produits, et dans un cadre de sécurisation des données", explique le secrétaire général de l'Acea, Erik Jonnaert.
L’Acea et le Clepa, représentant les équipementiers européens, ont donc décidé de créer une alternative à un accès direct aux données du véhicule par des tiers (toutes les entreprises, en dehors du constructeur). Ils travaillent actuellement à la création d’une plateforme externe, sur laquelle les constructeurs communiqueraient les données "de fonctionnement" de leurs véhicules, qui  excluent les données importées par les automobilistes (telles que les listes de contacts des téléphones mobiles et les destinations sélectionnées pour la navigation) et les données reçues de sources externes (comme les informations transmises par les autres véhicules). Sur le même principe que la plateforme Oasis pour les données de réparation du véhicule, cette plateforme serait accessible aux tiers. Mais leur exploitation ne pourrait être que limitée à des fins statistiques pour par exemple faciliter la gestion du trafic et du stationnement ou améliorer la sécurité routière. Elle ne pourra donc pas satisfaire ceux qui souhaitent exploiter ces données à des fins commerciales. 
L’Acea et le Clepa vont soumettre cette proposition à la Commission européenne, nous a-t-on expliqué au Clepa. Mais les représentants des constructeurs et des équipementiers ont annoncé qu’ils allaient quoi qu’il en soit continuer de "travailler ensemble sur les détails techniques", ainsi que sur un "proof of concept", c'est-à-dire sur une réalisation expérimentale de leur projet pour en démontrer la faisabilité.


GRUAU lance la benne Keroch

Le carrossier de Laval lance son modèle de benne Kerock, pour véhicules utilitaires. Cette petite dernière de Gruau est fabriquée en tôle acier galvanisé à haute limite élastique. Elle pèse 610 kg et peut supporter jusqu'à 4,5 t de charge uniformément répartie, sans se déformer. Sa protection anticorrosion repose à la fois à l'acier galvanisé et à une double couche de peinture à poudre. Par ailleurs, la sécurité des utilisateurs est assurée par un jonc de protection fixé sur la ridelle, une barre anti-encastrement remorquante, ainsi que plusieurs barres de protection latérales... Cet équipement est disponible en quatre longueurs utiles : 2,6 m, 3,08 m et 3,5 m.

La Kerock porte le nombre de combinaisons de bennes Gruau à plus de 300, avec les autres modèles acier galvanisé, aluminium ou mixte, en fonction des besoins des utilisateurs. Ses capacités - ainsi que celle de certains utilitaires sur lesquels elle peut être montée - lui permettent d'être montée sur des véhicules dépassant les 3,5 t de PTAC (conduits par les détenteurs de permis C et C1).


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La FFC EXPERTS À VOS CÔTÉS

Depuis deux ans, les entreprises sont obligées de proposer des couvertures en matière de frais de santé (mutuelle ANI, contrats responsables etc), il apparait que le législateur augmentera ses contrôles sur ce thème dans les 36 prochains mois.

Fort de son succès, le service FFC Experts souhaite vous accompagner sur ce sujet majeur afin d’anticiper ces contentieux potentiels. Dans cette perspective, Marie, la voix de FFC Experts, contacte tous les adhérents aujourd’hui et encore tout le mois de décembre, et vous propose les services d’un expert afin d’évoquer les conditions réglementaires de mise en place et de suivi de ces solutions d’assurance.

Les retours et la grande satisfaction des adhérents interrogés démontrent l’efficacité du service et la nécessité de poursuivre ces actions et ces initiatives.


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SOLUTRANS 2017 sous les meilleurs auspices

Les signaux sont au vert pour la prochaine édition du salon Solutrans qui s’intéressera en particulier aux nouvelles énergies et à l’usine du futur.
Les signaux sont au vert pour la prochaine édition du salon dédié à la filière camion Solutrans qui se tiendra du 21 au 27 novembre 2017 à Lyon (Eurexpo).

Selon ses organisateurs, la commercialisation des espaces démarre sur les chapeaux de roues avec une dynamique de ventes supérieurs à la dernière édition. Selon eux, ce bon démarrage peut être en partie expliqué par l’annulation du salon RAI d’Amsterdam.

« La grande majorité des constructeurs ont augmenté leur surface d’exposition » observe avec satisfaction Patrick Cholton, président de la FFC et de Solutrans. Le responsable regrette toutefois que Renault Trucks et Volvo Trucks n’aient pas encore fait part de leur participation et pourraient bien cette année encore être les grands absents de la manifestation pas assez business à leurs yeux.

Cap sur l’usine du futur

Deux grands thèmes seront le fil conducteur de la quatorzième édition de la biennale du véhicule industriel : les nouvelles énergies et l’usine du futur. « Alors que 50 % des métiers de la filière auront disparu d’ici à 15 ans, nous mettrons l’accent sur les nouveaux outils de réalité virtuelle et de simulation 3D qui prennent place au sein des bureaux d’études » indique Patrick Cholton. La société Immersion aura en charge de sensibiliser les visiteurs sur ces mutations de l’usine du futur.

Solutrans mettra aussi à l’honneur le marché Africain avec une délégation ivoirienne attendu sur le salon.

L’édition 2015 de Solutrans a enregistré, pendant 5 jours, 36 000 visites (+ 3 % vs 2013) et a réuni 900 exposants et marques (+ 13 % vs 2013).