BASF lance officiellement le Club R-M Premium Partners

Pour conquérir, fidéliser et assurer ses parts de marché, la marque de peinture R-M lance le Club Premium Partners. Ce réseau, non commercial, a pour objectif de fédérer les meilleurs clients de la marque pour assurer de la croissance par le bais d’échanges et d’accompagnements.
Le fabricant de peinture R-M vient d’annoncer officiellement le lancement de son Club R-M Premium Partners.
Construit dans la logique d’un cercle communautaire, et non pas d’une enseigne commerciale, ce club a vocation d’accompagner avec proximité les carrossiers clients de la marque de peinture avec un programme de coaching (R-M Productivity Program), la mise en place d’outils de gestion, de la formation, d’un programme de veille sur les évolutions du marché de la réparation collision et d’échanges de bonnes pratiques. Les adhérents au Club peuvent de plus bénéficier d’une assistance d’experts portant sur tous les aspects de l’activité. Coût d l’adhésion : 45 euros par mois.

Au centre de R-M Premium Partners, une plate-forme internet spécifique et une dizaine d’hommes terrain dédiés à son animation et à l’observation du fonctionnement des ateliers.

65 adhérents depuis janvier

R-M Premium Partners s’adresse à tous les carrossiers travaillant avec de la peinture R-M, déjà en réseau ou pas, mais avec la volonté commune d’être proactifs et acteurs de l’évolution de leur affaire comme celle de la profession. Ils doivent d’une part jouer un rôle dynamique dans l’action du club mais aussi être motivés pour considérer les services de conseils apportés par l’industriel pour poindre le plus simplement possible vers l’excellence sur un marché complexe, en baisse et de plus en plus sélectif.

Déjà opérationnel depuis le début de l’année en France, le Club R-M Premium Partners compte à ce stade 65 adhérents qui se sont déjà rencontrés lors d’une première convention en octobre dernier à Clermont-de-l’Oise, Siège de R-M en France. Constantino Blanco a été nommée responsable de ce Club inédit sur ce marché.


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La FFC EXPERTS À VOS CÔTÉS

Depuis deux ans, les entreprises sont obligées de proposer des couvertures en matière de frais de santé (mutuelle ANI, contrats responsables etc), il apparait que le législateur augmentera ses contrôles sur ce thème dans les 36 prochains mois.

Fort de son succès, le service FFC Experts souhaite vous accompagner sur ce sujet majeur afin d’anticiper ces contentieux potentiels. Dans cette perspective, Marie, la voix de FFC Experts, contacte tous les adhérents aujourd’hui et encore tout le mois de décembre, et vous propose les services d’un expert afin d’évoquer les conditions réglementaires de mise en place et de suivi de ces solutions d’assurance.

Les retours et la grande satisfaction des adhérents interrogés démontrent l’efficacité du service et la nécessité de poursuivre ces actions et ces initiatives.


Artisanat : l'UPA devient l'UP2… et la 1ère force patronale

C’est un moment historique. Le 17 novembre 2016, l’UPA et l’UNAPL ont respectivement réuni leurs assemblées générales extraordinaires. L’UPA a modifié ses statuts afin d’accueillir une quatrième composante. L’UNAPL de son côté a décidé d’adhérer à l’UPA qui devient l’Union des entreprises de proximité -U2P-.

L’U2P est désormais la première force patronale du pays puisqu’elle rassemble 2,3 millions d’entreprises des secteurs de l’artisanat, du commerce et des professions libérales, soit les deux tiers des entreprises françaises. Elle est constituée de quatre composantes (CAPEB, CNAMS, CGAD, UNAPL) et fédère plus de 120 organisations professionnelles nationales.

La priorité de cette union est de placer les TPE-PME  au centre de la scène économique et sociale nationale et de mettre fin à des décennies de décisions publiques orientées vers les plus grandes entreprises.

Les entreprises de proximité créent de la richesse en tous points du territoire. Elles détiennent les clés du retour à une croissance pérenne et sont en mesure de gagner le combat contre le chômage de masse, à la condition que des mesures phares, pragmatiques et garanties dans la durée, viennent libérer leur potentiel.

C’est dans cet esprit de conquête et avec la ferme volonté d’améliorer l’environnement des entreprises françaises que l’U2P participera à la concertation avec les pouvoirs publics, à la négociation interprofessionnelle et à la gestion paritaire.

Les présidents de l’U2P et de ses quatre composantes tiendront une conférence de presse le jeudi 24 novembre à 11h30 au siège de l’U2P, 53 rue Ampère, 75017.


Les assureurs et le défi de la transition digitale

Toujours plus concurrencée, la filière traditionnelle de la distribution d’assurance doit faire sa révolution et miser davantage sur le digital

Rien ne va plus dans le monde de la distribution des assurances. Selon une dernière étude du cabinetPrecepta, les assureurs et leurs réseaux de distribution traditionnels cèdent du terrain face aux banques et à leurs produits d’assurance.

Une situation qui conduit les assureurs et leurs intermédiaires à trouver un nouvel équilibre entre conquête et fidélisation des clients « où le prix n’est plus le critère déterminant de choix » préviennent les experts de Precepta. Selon ces derniers, la satisfaction client est désormais une priorité stratégique. Si la technique s’avère indispensable, elle doit se conjuguer avec des compétences relationnelles pour instaurer la confiance, socle d’une relation client durable.

L’enjeu du digital

Si l’agence, où le taux de transformation clients est bien plus élevé que sur la toile, reste de loin le canal préféré de souscription, les intermédiaires doivent toutefois passer à la vitesse supérieure en matière de digitalisation pour revisiter la proximité relationnelle.

Aussi, le numérique peut accroître leur visibilité et leur notoriété à condition de publier régulièrement des contenus sur les médias sociaux et ainsi créer du trafic. Messagerie, mail, appels vidéo, échanges sur les réseaux sociaux sont autant de nouveaux modes de communication qui répondent aux nouveaux usages et attentes.

« Si aujourd’hui encore, le face-à-face demeure au cœur des modèles de distribution de l’assurance, elle devra de plus en plus composer avec la montée en puissance de modèles plus digitaux, poussés par les assureurs » conclut Precepta.


Pièces de réemploi : vers un arrêté d'application moins contraignant ?

Passer d’un aspect punitif à un aspect peu contraignant sur le plan réglementaire : tel devrait être le destin de l’article de la loi relative à la Transition énergétique obligeant les réparateurs à proposer, dès le 1er janvier 2017, des pièces de réemploi pour réparer les VP et les VUL hors garantie. Le texte, pour entrer effectivement en vigueur, attend désormais son arrêté d’application, en cours de rédaction mais qui pourrait bien n’être publié que dans les tous derniers jours de l’année 2016…


La Confédération Française des Experts en Automobile se porte partie civile

Dans le cadre du procès impliquant un garagiste, un épaviste et un expert en automobile, le 8 novembre dernier devant le tribunal correctionnel d’Évry à l’audience du 8 novembre 2016, la CFEA s’est constituée partie civile. Elle affirme ainsi formellement l’opposition de l’ensemble de la profession face à ce cas isolé d’escroquerie en bande organisée et rappelle l’importance du rôle de l’expert en automobile en termes de sécurité routière.

Rappel des faits: le 5 janvier 2014, un accident mortel de la circulation implique une Renault Clio précédemment gravement endommagé et cédé comme épave puis réparé par un garagiste et ensuite autorisé à être remis en circulation par un expert en automobile avant d’être revendu. Quatre jours après son achat, le conducteur de ce véhicule en perd le contrôle et son passager trouve la mort sur le coup. L’expertise judiciaire impute la sortie de route à l’état de la voiture, mettant en évidence de graves malfaçons dont des soudures grossières près du point d’impact et les chapes de fixation de l’essieu arrière desserrées. Un scandale qui rejaillit malheureusement sur toute une filière. Alors que les professionnels de l’automobile ont fait le dos rond, les experts ont alors décidé de défendre leur probité.

Dans son réquisitoire, le procureur de la république a voulu faire de ce procès un procès exemplaire à l’égard d’un expert automobile, le mettant également en perspective avec l’affaire des 5000 véhicules d’occasion, affaire sur laquelle la CFEA collabore également avec les autorités publiques. Il a requis, à l’encontre du professionnel, 5 ans d’emprisonnement dont un an ferme, 50 000 euros d’amende et l’interdiction définitive d’exercer toute activité en rapport avec l’automobile. Il a également requis 2 ans d’emprisonnement avec sursis et 20 000 euros d’amende contre du garagiste et un an avec sursis et 10 000 euros d’amende à l’encontre du carrossier, assortis, pour les deux, de la même interdiction définitive d’exercer toute profession en rapport avec l’automobile. L’affaire est mise en délibéré au 6 décembre 2016.

Pour Sylvain Girault, Administrateur de la CFEA : « Cette audience a permis de mettre en évidence le rôle de l’expert en automobile et toute sa responsabilité sociale sur le plan de la prévention et de la sécurité routièreLa CFEA s’est constituée partie civile dans l’intérêt de la profession afin de rappeler que tout expert en automobile ne peut en aucun cas faillir à son devoir en autorisant la remise en circulation de véhicules endommagés ». La CFEA rappelle dans son communiqué que les experts collaborent avec les autorités publiques dont la réexpertise des 5 000 véhicules d’occasion présumés dangereux, l’établissement  de la liste nationale des experts en automobile,  le fonctionnement de la commission nationale des experts en automobile (CNEA) habilitée sur le plan disciplinaire à instruire les poursuites et proposer des sanctions au ministre en charge des transports et la formation annuelle des experts en automobile agréés pour les procédures légales concernant les véhicules endommagés. La CFEA réunit les principales entités de l’expertise (ANEA, BCA Expertise, UPEAS, SEI) et assure une représentation professionnelle unique.


L'autopartage va nuire aux carrossiers indépendants

Les carrossiers se sont battus pour obtenir le libre choix du réparateur mais, avec le développement des offres d'autopartage, les assureurs vont de plus en plus assurer des flottes de véhicules qu’ils pourront librement orienter vers leurs réseaux agréés en cas de sinistre. 

Le développement de l’autopartage risque d’avoir un impact négatif sur l’activité des carrossiers qui ne sont pas affiliés à un assureur. En effet, explique Cyrille Chartier-Kastler, président du cabinet d’étude Facts & Figures, "ce ne sont plus les conducteurs qui décident du choix de leur réparateur puisque l’assurance est souscrite par la plateforme d’autopartage (*). Les assureurs, dont les prix vont être tirés vers le bas dans le cadre de ses contrats flotte, compenseront cette perte de rentabilité en orientant systématiquement les véhicules vers leur réseau de réparateurs agréés"
L’impact de cette nouvelle mobilité restera mineur pour les carrossiers indépendants au cours des 10 prochaines années : Facts & Figures estime que l’autopartage représentera 15 % des trajets en 2025 (contre 85 % de voitures "à soi") mais pourrait atteindre 35 % en 2035. 
Le recours croissant aux VTC peut avoir la même incidence négative pour les carrossiers indépendants. En effet, LeCab souscrit également une assurance globale pour les véhicules qu’ils louent aux chauffeurs. Ce n’est en revanche pas le cas de Uber qui laisse chaque chauffeur libre de choisir son véhicule, son assurance et son réparateur en cas de sinistre (comme les artisans taxi).

Regain de rentabilité pour l'activité réparation

Les petites entreprises de la réparation automobile ont vu leur rentabilité progresser de 2,1% en 2015, révèle la Fédération des centres de gestion agréés (FCGA). Elle avait reculé de 2,9% sur 2014.

Les petites entreprises de la réparation automobile ont fait partie des rares entités qui ont enregistré une hausse de leur rentabilité sur 2015. En tout cas, c'est ce qui ressort de la dernière étude de la FCGA (ces statistiques sont établies sur la base des comptes annuels de près de 200 000 TPE adhérentes des Centres de gestion agréés membres du réseau FCGA/Anprecega).

Si leur chiffre d'affaires a baissé l'an dernier, en moyenne de 0,9% (idem en 2014), leur rentabilité s'est améliorée de 2,1% (-2,9% en 2014). Seul le secteur du transport a fait mieux, avec une augmentation de rentabilité de 2,2%."Principale explication à cette amélioration : des charges mieux maîtrisées et une gestion plus rigoureuse de la trésorerie dans les TPE", explique la FCGA.

A noter que la tendance du secteur de la réparation automobile étudiée par la FCGA a été confirmée par l'Insee. D'après les données de l'institut public, les recettes de l'ensemble du commerce et de la réparation automobiles se sont élevées à 110 milliards d'euros en 2015, soit une hausse de 3,7% par rapport à 2014.


MIRKA 1230 à l'assaut de la poussière

Véritable marque de fabrique du finlandais, le travail sans poussière est également la ligne conductrice de très nombreux produits conçus et développés chez Mirka. À l’origine de cette exigence doit figurer une aspiration efficace et performante que s’engage à réaliser le nouvel extracteur de poussières 1230.
Doté d’un moteur de 1 200 watts et d’une turbine à un étage à l’origine d’une dépression de 250 mbars pour un débit de 4 500 l/min, l’extracteur de poussières 1230 embarque la technique nécessaire à une aspiration performante. Mirka propose la fonction dedémarrage automatique « auto-start », grâce à laquelle l’appareil se déclenche dès que l’outil est en fonctionnement. Non seulement cela limite les émissions sonores mais cela augmente également la durée de vie de l’extracteur. 

Performant et pratique à l’emploi

Décliné en plusieurs versions, le 1230 dispose d’un filtre dont le nettoyage s’effectue soit manuellement soit à travers un dispositif automatique qui entre en action toutes les 15 secondes d’utilisation. La capacité de 30 litres et son poids contenu sous les 15 kg permettent à cet appareil compact d’être très mobile. Ses grandes roues améliorent la manœuvrabilité sur des surfaces irrégulières ou difficiles comme les caillebotis.

L’appareil peut même servir de petite servante grâce à uneastucieuse plate-forme sur laquelle peut s’arrimer un coffret de rangement pour les consommables et outils de la marque. Conscient de la qualité de ce nouvel extracteur, Mirka le garantit 3 ans.


Commerce & réparation : les entreprises vont moins mal

«Depuis avril 2009, le nombre de défaillances d’entreprises en données glissées sur 12 mois restait bloqué au seuil des 60000, et avait même établi en février 2014 un record à 64500. 2016 marque enfin un changement de cap! La baisse de la sinistralité des entreprises s’accélère et se propage à l’ensemble de l’économie», observe Thierry Millon, Directeur des études Altares. Même si le secteur du commerce et de la réparation auto va mieux, la tendance reste négative sur les 9 premiers mois...

La société Altares, acteur de premier plan de la Data Economy, membre du réseau Dun & Bradstreet, 1er réseau international d’informations BtoB, présente son étude trimestrielle sur les défaillances d’entreprises en France au cours du 3ème trimestre 2016 (Extraits concernant le commerce & la réparation automobiles et les entreprises de transport & logistique):

Evolutions 3ème trimestre 2016/3ème trimestre 2015

Le commerce de véhicules s’inscrit sur une bonne dynamique (-21% de défaillances d'entreprises au 3ème trimestre 2016 par rapport à la même période de 2015), mais l’entretien et la réparation (+6%) et la vente d’équipements au détail (+7%) peinent encore :

  • moyenne concernant les entreprises du commerce & réparation de véhicules : 409 défaillances d'entreprises au 3ème trimestre 2016 contre 448 au 3ème trimestre 2015 (-8,7%).

Le transport routier de marchandises enregistre également une évolution très marquée (-19%) tandis que les autres activités de transport patinent (-1%), voire dérapent de +53% pour les taxis :

  • entreprises de transport et logistique : 342 défaillances d'entreprises au 3ème trimestre 2016 contre 393 au 3ème trimestre 2015 (-13,0 %).

Evolutions sur 9 mois 2016/9 mois 2015

  • Commerce & réparation de véhicules : 1 523 défaillances d'entreprises sur les 9 premiers mois 2016 contre 1 499 sur les 9 premiers mois 2015 (+1,6%)
  • Entreprises de transport et logistique : 1 259 défaillances d'entreprises sur les sur 9 premiers mois 2016 contre 1 295 sur les 9 premiers mois 2015 (-2,5%)