Brevet Carrosserie innove avec un véhicule atelier rail-route

Article paru sur Transportissimo.com

"Voilà 100 ans que Brevet Carrosserie, spécialisé dans la carrosserie industrielle, aménage des véhicules sur-mesure. Aujourd’hui 7 clients prestigieux s’arrachent ses services dont Mercedes, Iveco, Man, Renault Truck, Volvo, Daf et Scania.
Sa dernière réalisation est un véhicule Atelier Rail-Route destiné à la surveillance et l’entretien des lignes caténaires en Belgique.  Le carrossier s’est basé sur un Iveco Eurocargo. Deux portes latérales d’origine ont été rendues coulissantes, une 3ème porte coulissante à l’arrière a été rajoutée ainsi qu’un 3ème siège homologué et un strapontin. La cabine a également été rehaussée et approfondie et des rangements ont été crées pour transformer le véhicule en atelier.
Le succès de l’entreprise se confirme avec un chiffre d’affaire de 8,5 M€ par an et 80 collaborateurs. L’entreprise est aussi certifié ISO 9001 sur le contrôle qualité et SAV. Encore un bel exemple de réussite!"


Gruau dévoile ses nouveaux projets

Article paru sur JournalAuto.com

"Dans les deux prochaines années, le constructeur-carrossier va investir plusieurs dizaines de millions d'euros en nouveaux produits, en nouveaux équipements, en nouveaux bâtiments... et en nouvelles opérations de croissance externe."


Les marchés sourient à Lamberet

Article paru dans L'Officiel des Transporteurs n° 2876 du 21 avril 2017

"Au lendemain des salons Transpotec (Vérone) et SIHRA (Lyon), le carrossier bressan communique sur des résultats 2016 en hausse, tant en véhicules utilitaires légers (jusqu’à 7 t) qu’en semiremorques."


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Lamberet ou la formidable renaissance d'une entreprise

La société LAMBERET en couverture ce vendredi 7 avril du journal régional LA VOIX DE L'AIN 
N° 3754 du vendredi 7 au jeudi 13 avril 2017 - article page 71


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UN NOUVEAU STUDIO MOBILE POUR TENDANCE OUEST

"C'est une nouvelle création de la société toutenkamion qui vient de livrer à tendance Ouest, un nouveau studio mobile d'enregistrement radio et vidéo réalisé sur la base du tout dernier Mercedes Classe V. Un véhicule qui sillonnera bientôt les routes de la Normandie." magazine La Lettre Pro de la Radio

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Gruau reprend Onnicar, le Carrossier italien spécialiste de la benne aluminium

En reprenant Onnicar, spécialiste italien de la benne aluminium, le groupe Gruau souhaite apporter toujours plus de proximité et de solutions à ses clients. Il poursuit ainsi son objectif de devenir, à l’horizon de son Projet 2022, un acteur majeur de la transformation sur Véhicule Utilitaire au niveau mondial. Une double stratégie de croissance externe et d’internationalisation mise en place par Patrick Gruau, président du groupe éponyme, depuis maintenant plus de 30 ans.


Le Groupe Gruau commercialise le premier utilitaire 3,5t électrique du marché adaptable à tous les métiers

Le Groupe Gruau, leader européen de la Carrosserie sur Véhicule Utilitaire, vient de livrer les premiers exemplaires de l’Electron II à ses clients. Une solution zéro émission, adaptable à tous les métiers : transport de marchandises (fourgons et isothermes), transport de personnes (minicars, personnes à mobilité réduite, ambulances), BTP (bennes, véhicules atelier)…

Pour de plus amples informations, téléchargez le communiqué de presse ci-dessous.


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SOLUTRANS s'annonce comme un bon cru

Chez les carrossiers, équipementiers et constructeurs, on parle de plus en plus de Solutrans car cette manifestation, qui se déroulera du 21 au 25 novembre 2017 à Lyon Eurexpo, s'annonce comme « le » salon de l'année. Outre les titres de Camion de l'Année (Truck of the Year) et de Van de l'année qui devraient y être décernés, certains constructeurs commencent à lâcher des allusions à des nouveautés. Ainsi, le patron d'Iveco en France, Thierry Kilidjean évoque deux nouvelles productions, sans bien sûr préciser de quoi il s'agit. Compte tenu de l'apparition de la nouvelle version de l'Eurogargo en octobre 2015 et du Daily en avril 2016 et du nouveau Stralis en juin 2016, ça pourrait être au tour du Trakker de changer de robe... C'est en tout cas prématuré pour le tout nouveau Stralis, dont la sortie est plutôt attendue en 2018. Solutrans pourrait aussi être le salon choisi par la marque pour la dernière des gammes à devoir être mise au goût du jour : les Trakker TP... L'autre nouveauté pourrait être l'apparition d'une nouvelle version du Stralis NP (version gaz) dotée d'un moteur plus puissant, qui pourrait être le 13-litres... Du côté de Man, il semble que la filiale française du constructeur allemand aura un stand beaucoup plus grand que prévu pour y faire le lancement officiel de sa gamme utilitaire issue de la coopération avec VW et son Crafter, qui prend le nom de TGE avec la calandre Man. De son côté, Patrice Cholton, le président de la Fédération française de la carrosserie (organisateur du salon) se félicite de la tournure que prend l'édition 2017 de Solutrans : « Les inscriptions sont en augmentation par rapport à la dernière édition. Nous sommes d'autant plus satisfaits que Solutrans devient de plus en plus international : certains exposants viennent de pays parfois très éloignés ». Pour ce qui est de l'interrogation sur la présence ou non de Renault Trucks (le local de l'étape), la marque française semble toujours dans l'incertitude, tout comme sa maison-mère, le groupe AB Volvo... 


A Loudéac, les camions sur-mesure d'ECOVRAC tracent les aliments

La société Écovrac, située à Saint-Caradec dans les Côtes d'Armor, se place comme leader dans la fabrication des équipements de transport en vrac pour les aliments du bétail. Ses camions sur-mesure vont se doter d'un nouveau système embarqué qui permettra notamment d'améliorer la traçabilité des aliments.

Le vrac : une innovation qui a 50 ans

Quasiment cinquante ans que l'entreprise est implantée à Saint-Caradec, dans les Côtes d'Armor. Autant de temps qu'elle développe une activité de niche, qui la place parmi les leaders français du domaine.

Chez Écovrac, les soixante-cinq salariés, « quasiment exclusivement en contrat à durée indéterminée », conçoivent et fabriquent les équipements de transport en vrac pour les aliments du bétail.

« Il y a cinquante ans, transporter les aliments du bétail en vrac était quelque chose de tout à fait nouveau. Avant, ils étaient mis dans des sacs, qu'il fallait ensuite porter », explique Aurélie Fromet PDG de l'entreprise. En autant de temps, les techniques ont largement évolué. « Il faut savoir prendre son temps, mais une entreprise qui n'avance pas est une entreprise qui recule », sourit la gérante.

Du sur-mesure pour chaque client

Alors Écovrac a décidé de s'adapter à chacun de ses clients : des transporteurs, ou directement des usines d'aliments du bétail. « On fait du sur-mesure, en construisant tout de A à Z. »

Tout, c'est réellement tout. Sur les semi-remorques, les salariés vont faire le châssis, la citerne, créer des compartiments pour mettre différents aliments dans la même citerne.

« C'est un réel savoir-faire. Beaucoup de métiers sont représentés dans l'entreprise », note Aurélie Fromet. Des soudeurs, des chaudronniers, des peintres, électriciens... « Essentiellement des métiers manuels. » Car ici, chaque produit fini est unique. « On s'adapte aux demandes, nous n'avons pas d'autre choix ! »

En Bretagne par exemple, les clients préféreront des véhicules à grands volumes, de type semi-remorques. « Dans les régions montagneuses, ils se dirigeront plutôt vers le porteur. Ce sont de plus petits véhicules pour une meilleure motricité », indique Aurélie Fromet.

900 heures de tavail pour un véhicule

Le marché français représente 90 % des dix millions d'euros de chiffre d'affaires d'Écovrac. « Les 10 % restants sont de l'export, dans les pays du Maghreb et dans les pays de l'Est. Cette semaine, nous avons un porteur qui part au Liban, également. » Car l'entreprise détient des homologations européennes qui lui permettent de fabriquer les équipements pour l'international. « C'est un travail d'envergure, pour des petites productions », explique la gérante d'Écovrac.

Chaque année sortent environ 80 véhicules des près de 2 000 m² d'ateliers de l'entreprise centre-bretonne. « Nous ne voulons pas forcément augmenter la production. Nous passons en moyenne sur un véhicule entre 800 et 900 heures », note Aurélie Fromet.

Dernière innovation : tracer les aliments

Son objectif est plutôt de continuer d'innover, de « montrer que l'entreprise industrielle bretonne existe encore, notamment en innovant dans des filières difficiles comme celle de l'élevage ».

La dernière innovation de l'entreprise est de pointe : le système Ivrac, un système embarqué qui permet à la fois d'automatiser le fonctionnement des véhicules, mais aussi de permettre la traçabilité des aliments, « une problématique au coeur des métiers de l'élevage ».
Et en 2017, un nouveau bâtiment de 1 500 m² sera construit sur le site « pour plus de confort dans le travail ».

Aurélie Fromet, dirigeante d'Écovrac

 

 

 

 

 

 


Aurélie Fromet, dirigeante d'Écovrac | Jeanne Hutin

 


Renault Trucks se lance dans la vente en ligne de ses camions et VUL

Très discrètement, Renault Trucks s'est lancé il y a quelques mois dans la vente sur internet de ses camions, en Belgique et aux Pays-Bas. Les clients potentiels n'ont qu'à se connecter ici. Les deux sites dédiés à cette vente (l'un en flamand, l'autre en français) s'ouvrent sur une page très explicite qui annonce : « Renault Trucks webshop - achetez vos camions et vos camionnettes directement en ligne chez Renault Trucks ». Jusqu'à présent réservés aux seuls grands-routiers T, ils se sont élargis depuis peu aux Vul en affichant un porteur D et un Master. Il semble qu'il n'est pour l'instant pas question d'étendre à la France cette proposition réservée à la Belgique et aux Pays-Bas. Sur les résultats de cette opération de vente en ligne (nombre des clients qui y ont fait appel, nombre des véhicules vendus...), difficile d'en savoir plus : les responsables de ce service en ligne ne sont pas très loquasses, que ce soit en Belgique ou au siège social en France... En se connectant sur ce service apparait une offre pour un tracteur T Drive à 1 295 euros par mois, un porteur D Drive à 1 250 euros et un Master à partir de 19 900 euros..