Débosselage sans peinture : une solution alternative

Un coût et un délai d’attente moins élevés : voici les requêtes principales de la plupart des clients. Facturer moins tout en travaillant vite devient par conséquent l’objectif de nombreux professionnels de l’automobile pour satisfaire à cette demande. Continuer à rendre son activité rentable est dès lors un challenge. La carrosserie peinture n’échappe pas à la conjoncture.

Avec une organisation pertinente (voir notre article dans une newsletter précédente) et l’application de techniques innovantes, les ateliers peuvent réussir à se dégager plus facilement des marges.

Pour atteindre ces résultats, il est nécessaire de développer des compétences et de nouvelles méthodes de travail. Le débosselage sans peinture, par exemple, permet de proposer un service de réparation plus rapide et moins onéreux. Cependant, cette technique ne s’utilise que dans certains cas (impacts de petits projectiles, grêle, coups de caddies, de portières…) et de manière professionnelle. Pour pratiquer le débosselage sans peinture de manière efficace, il faut que le carrossier-peintre soit à même de :

  • Définir si oui ou non cette technique est pertinente en fonction de l’impact.
  • Supprimer les petits impacts sur parties planes, horizontales, verticales, sur arêtes et sous renforts.
  • Savoir choisir l’outil adapté selon les différents accès et ce, sur n’importe quel véhicule.
  • Réaliser les différentes techniques de débosselage sans peinture, en fonction des emplacements et des différentes formes de déformations.

Pour vous aider dans cette montée en compétences, le GNFA vous propose des formations de trois jours allant de l’initiation au perfectionnement.