Les Français favorables aux pièces de réemploi

Depuis le 1er janvier 2017, un décret oblige les professionnels de la réparation automobile à proposer des pièces de réemploi. Pour vérifier l’impact de ces dernières auprès des automobilistes 
français, Caréco et l’Argus ont réalisé un sondage dont il ressort notamment que 87 % d'entre eux sont favorables à l’utilisation de ces pièces...


Le garage ROBLES, un atelier inventé

A Agay, dans le Var, le garage Robles fait partie des premiers utilisateurs du logiciel d'aménagement d'atelier MAVImplant. Une expérience enrichissante et instructive pour l'agent Renault puisqu'elle a contribué à améliorer la gestion des flux des véhicules tout en optimisant le confort de travail des techniciens.


Productivité en atelier : travailler mieux pour gagner plus !

Dans un marché de plus en plus tendu, il est devenu indispensable pour les garages de veiller à optimiser l'efficacité de leur organisation. D'autant que leur métier a évolué : baisse de la sinistralité, espacement de l'entretien, évolution technologique des véhicules, etc. pour rester dans la course, les ateliers se doivent donc de parfaire leurs outils et méthodes. Cap vers un niveau de productivité maximal !


Pièces de réemploi : 1 MRA sur 3 pas informé sur le nouveau décret !

Selon une étude menée par notre journal, en partenariat avec Caréco, un patron de garage sur quatre n’est pas informé de l’obligation légale de proposer des pièces de réemploi. Les MRA sont encore moins au courant du texte. À retenir aussi que 51 % des ateliers estiment que cette obligation ne représente aucun intérêt pour eux. Un peu moins des trois quarts des garagistes utilisent déjà des pièces d’occasion. L’étude montre que la profession accorde sa confiance à l’occasion mais que des freins restent à lever, notamment la perte de temps qu’engendre le travail avec des éléments ayant déjà servi.
Depuis le début de l’année les garagistes, mécaniciens comme carrossiers, ont l’obligation de proposer à leurs clients la possibilité d’opter pour des pièces recyclées lors de la remise en état des véhicules. Si cette loi est une véritable aubaine pour les recycleurs, comme Caréco, comment est-elle reçue par les installateurs ? Pour le savoir, Décision Atelier et Caréco ont conduit du 13 décembre au 9 janvier une étude auprès de 200 professionnels (85 MRA, 47 agents de marque et 47 carrossiers).

La profession assez mal informée

Premier grand enseignement de ce sondage : un patron de garage sur quatre n’est pas informé de cette obligation ! Ce taux global varie selon le profil de l’atelier. Ainsi, les carrossiers, plus directement concernés par cette nouvelle disposition légale, sont 85 % à se dire au courant. Le taux chute à 79 % pour les agents. Les MRA restent les plus mal informés puisque environ un sur trois (32 %) avoue ne pas être au courant !

Bon pour l’écologie, pas si bon pour l’économie

Pour 68 % des patrons de garage, cette loi est une bonne initiative écologique. Les agents, culturellement attachés à la pièce d’origine, en sont moins convaincus (57 %). Mais pour ce qui concerne l’aspect financièrement profitable de la loi, les professionnels se montrent plus sceptiques ; plus de la moitié (52 %) d’entre eux considère en effet qu’elle n’est pas une bonne initiative économique. Il est sûr que, vendue moins chère que la pièce neuve, la pièce d’occasion génère moins de valeur pour le marché du SAV.

Pour quels intérêts ?

Un garagiste sur deux (les MRA plus particulièrement) estime que cette loi ne représente aucun bénéfice pour son affaire, tandis que l’autre moitié voit en ce texte l’opportunité de donner une image positive de son atelier (19 %) et d’accroître le volume d’affaires (13 %).

Dans le top 3 des principaux freins à la mise en place de la loi, on note : la perte de temps qu’elle va générer (pour 67 % des répondants), le problème de sécurité et d’assurance (65 %) et l’allongement des délais de livraison (58 %). L’insuffisance de l’offre se classe à la quatrième position (52 % des répondants).

Ces freins reposent sur un certain retour d’expérience puisque 73 % des ateliers posent déjà des pièces d’occasion dans 14 % des réparations en moyenne. Ces taux sont logiquement plus élevés chez les carrossiers, respectivement de 87 % et 18 %. Dans le top 3 des pièces concernées figurent celles de carrosserie (94 % des répondants), les boîtes de vitesses et les moteurs (52 %) et les optiques (46 %). Les professionnels (93 % d’entre eux) proposent ce type de pièces pour les véhicules âgés de plus de 7 ans.

Une confiance affirmée malgré quelques soucis

Selon l’étude, 85 % des garagistes déclarent avoir déjà vécu de mauvaises expériences avec des pièces de réemploi sans que l’on en connaisse toutefois la proportion. En cause : la mauvaise qualité de la pièce pour 77 % des patrons interrogés, une erreur de référencement (52 %), un problème de garantie (43 %) et un délai de livraison trop long (42 %). Chez les carrossiers, plus expérimentés dans l’usage de la pièce d’occasion, la mauvaise qualité des pièces ressort dans 89 % des réponses. Les agents mettent plus volontiers les problèmes de garantie en avant (63 % des réponses). Reste toutefois que les deux tiers des professionnels se disent confiants envers les pièces réemployées.


MIRKA s'occupe des défauts de peinture

Toujours soucieux de proposer aux réparateurs des solutions efficaces, Mirka complète son offre avec deux ponceuses de petite taille, électriques et sans fil, pour la rectification des défauts de peinture.
Le finlandais Mirka élargit sa gamme d’outils électriques sur batteries avec l’arrivée des premières ponceuses de petite taille et sans fil destinées à la rectification des défauts.
Ces ponceuses à mouvement orbital de 3 millimètres pour le modèle AOS-B et de 5 millimètres pour le modèle AROS-B sont équipées d’un plateau de 32 millimètres de diamètre.

Ergonomiques et autonomes

Ces outils légers (560 grammes avec batterie) bénéficient d’une grande ergonomie permettant d’être utilisés, y compris dans les zones difficiles d’accès, plus confortablement pendant tout le temps de leur utilisation. 
Même dans des conditions de forte sollicitation, ces ponceuses endurantes affichent une autonomie de 16 heures récupérable après seulement 45 minutes nécessaires à la recharge de la batterie au lithium-ion.


L'assurance automobile fait encore trop d'insatisfaits

Le comparateur d’assurances automobile minute-auto.fr dévoile les résultats d’une enquête menée en décembre 2016 sur un panel de 1 500 Français. Elle concerne leur vision de l’assurance mais aussi le rapport qu’ils entretiennent avec les compagnies en charge de les protéger eux et leurs biens.
Avec 40 millions de véhicules en circulation, l’assurance automobile en France représente un marché important qui affiche plus de 16 milliards d’euros de chiffre d’affaires. En hausse constante depuis 2010, ce marché qui a su s’adapter au contexte actuel ne fait pourtant pas que des satisfaits…

L’assurance corporelle et le bris de glace plébiscités

Selon l’étude menée par le comparateur minute-auto.fr, 83 % des assurés considèrent que les tarifs sont encore trop élevés, là où trois quarts des sondés regrettent le manque de transparence de leurs contrats. On apprend aussi que la majorité a souscrit à l’assurance corporelle du conducteur ainsi qu’à l’assurance bris de glace (plus de 75 % dans les deux cas). L’assistance zéro kilomètre a également attiré l’attention de plus d’un assuré sur deux (59 %). En revanche, la garantie panne mécanique concerne moins d’un quart des sondés.

La loi Hamon encore peu appliquée

Reste que, si leur assurance ne leur convient pas, les automobilistes peuvent très bien la résilier au bout d’un an de cotisation sans justification. C’est ce que permet la loi Hamondepuis mars 2014, comme le savent 63 % des assurés interrogés. Toutefois, si 81 % d’entre eux ont changé d’assurance cette année, 24 % seulement l’ont fait grâce à cette loi.

Recours au comparateur : surtout chez les jeunes

Pour changer d’assurance, les comparateurs en ligne sont des outils très bien médiatisés et désormais couramment utilisés : 76 % des assurés s’en servent pour trouver leur assurance. On note d’ailleurs que l’outil concerne davantage les jeunes conducteurs que les conducteurs expérimentés : 45 % des 18-29 ans s’en servent contre 22 % seulement des plus de 30 ans.

Les réticences face aux assurances en ligne perdurent

L’étude laisse apparaître que l’assurance en ligne inspire la méfiance pour beaucoup. Cela s’est vérifié au cours de l’enquête. Ainsi, 73 % des sondés préfèrent s’adresser aux assureurs ayant pignon sur rue plutôt que de confier leur voiture aux assureurs en ligne. De même, 58 % des personnes interrogées avouent avoir peur pour leur vie privée, d’où leurs réticences à s’engager en ligne. Néanmoins, sur les 9 % qui ont accordé leur confiance à l’assurance en ligne on enregistre une écrasante majorité d’assurés positifs : 87 % ont fait des économies et 85 % sont satisfaits.

Selon certaines projections, d’ici à 2020, l’assurance automobile connectée en Europe devrait dépasser les 15 milliards d’euros, soit 17 % du marché.

Retrouvez l’intégralité des résultats de cette enquête sur http://minute-auto.fr/pages/presse/etude-assurance-auto


NOx : les camions deux fois plus propres que les véhicules de tourisme diesel

Dans son dernier rapport, l’organisme indépendant ICCT (International Council on Clean Transportation) révèle que les véhicules de tourisme émettent en réalité deux fois plus de d’oxyde d’azote que les poids lourds. Un résultat surprenant qui trouve son explication dans les conditions de mesure des polluants radicalement différentes entre ces deux types de véhicule.
Alors que le diesel avait déjà mauvaise presse notamment depuis l’affaire Volkswagen et la médiatisation des pics de pollution en France, le dernier rapport dirigé par l’ICCT met aujourd’hui de l’eau au moulin des anti-dieselistes. Ce dernier affirme que les émissions moyennes de NOx des véhicules de tourisme seraient deux fois plus élevées que celles des poids lourds. En effet, ces rejets moyens atteindraient 210 mg/km de NOx contre 500 mg/km pour les véhicules de tourisme. Ces résultats sont basés sur la mesure des niveaux d’émissions de 24 camions et autocar Euro IV, réalisée sur les bancs de puissance du VTT, Technical Research Center of Finland et par la KBA, organisme d’homologation allemand.

Alors que les poids lourds consomment environ cinq fois plus de carburant que les véhicules de tourisme, un tel décalage peut s’avérer surprenant mais s’explique par une réduction significative des émissions de NOx des poids lourds depuis 2011, année durant laquelle des tests de mesure de NOx beaucoup plus stricts ont été mis en place en Europe. Ces derniers sont basés sur les conditions réelles de conduite : un appareil baptisé PEMS (Portable Emissions Measurement System), branché sur la sortie d’échappement, quantifie les niveaux de pollution des poids lourds circulants sur routes ouvertes. Pour rappel, le protocole d’homologation pour les véhicules de tourisme n’implique pour le moment pas de test en conditions réelles, mais seulement en laboratoire.

Les limites des émissions de NOx explosées

Résultats, pour se conformer au niveau d’exigence instauré par les législations européennes, les camions embarquent actuellement des technologies de réduction des NOx de pointe, dont les véhicules légers ne sont pas équipés. Ces outils restent en effet soit inadaptés au gabarit des véhicules particuliers ou présentent un coût prohibitif, trop élevé pour être amorti sur un véhicule léger. Le rapport de l’ICCT souligne ainsi que les émissions de NOx des véhicules de tourisme dépassent de 6 à 7 fois les limites réglementaires de 80 mg/km imposé par la norme Euro VI, un fait déjà avéré via de nombreuses études menées par des pays d’Europe ou par des laboratoires.

L’ICCT relate aussi le classement des 30 véhicules diesels Euro IV les plus polluants, réalisé par le gouvernement allemand. Dans le top 3, le Renault Kadjar 1,5 l dont le niveau de NOx s’avère en réalité 16 fois supérieur à la limite réglementaire, sa version 1,6 l dont les rejets de NOx dépassent de 15 fois la limite et le Suzuki Vitara dont les émissions réelles sont environ 11 fois plus importantes que le seuil réglementaire de 80 mg/km. Ce décalage flagrant entre les niveaux d’émissions de NOx entre les véhicules de tourisme et poids lourds pourrait bien s’atténuer dès 2017 avec l’instauration du cycle d’homologation RDE en septembre. Pour rappel, consciente des failles de l’actuel cycle d’homologation NEDC (New European Driving Cycle), la Commission européenne a entrepris de mettre au point une procédure d’essai permettant de mesurer les émissions également sur route et en conditions de conduite réelles (Real Driving Emission, ou RDE) au lieu de les mesurer uniquement en laboratoire comme c’est le cas actuellement.

Un nouveau seuil de 168 mg/km contre 128 initialement

Mais la mise en place de ce protocole RDE s’était accompagnée d’un assouplissement de la norme limité d’émissions de NOX en conditions réelles. Limite qui prend en fait la forme d’un coefficient multiplicateur. Ainsi, initialement, les véhicules ne devaient pas émettre plus de 128 mg/km de NOx, soit 1,6 fois le plafond autorisé dans l’Union européenne et matérialisé par la norme Euro6 (80 mg/km). Cette norme était à la base applicable à compter du 1er janvier 2017.

Cependant, en octobre dernier, les États européens ont voulu tempérer les ambitions de Bruxelles en proposant un coefficient multiplicateur de 2,1, soit 168 mg/km de NOx en conditions réelles de conduite. Non seulement le niveau limite d’émissions de NOx autorisé est donc devenu deux fois plus important que le niveau préconisé par la norme Euro6, mais l’échéance d’application de cette nouvelle norme a été également repoussée de deux ans, à 2019 contre 2017 initialement.

Entre 2017 et 2019, les véhicules devront respecter ce seuil de 168 mg/km lors des tests réalisés en conditions réelles. À partir de 2020, les véhicules pourront encore dépasser de 50 % le plafond fixé par la norme Euro6, avec un coefficient fixé à 1,5. Ce qui restera visiblement, malgré cet assouplissement des normes, un grand défi pour les constructeurs, compte tenu de ce dernier rapport du ICCT.


CHARLES CIP innove avec un set de protection intérieure du véhicule

À l’heure où les structures de réparation cherchent à développer leur activité, Charles CIP leur propose un set intégral de protection de l’habitacle du véhicule. Un tel service ne peut que satisfaire et, pourquoi pas, fidéliser davantage le client…

Spécialiste depuis plus de quarante ans de la vente de produits consommables d’atelier, de services et de matériels à destination des professionnels de l’automobile et de l’industrie, Charles CIP connaît bien les attentes des réparateurs dans ce domaine.

Set 5 en 1

Aujourd’hui, la société présente sa toute dernière nouveauté en matière de protection intérieure du véhicule avec le set complet 5 en 1. Ce produit puise son originalité dans une housse de siège qui intègre en elle-même et sous un conditionnement unique unprotège-tapis, une protection du levier de vitesses et du frein à main et enfin un couvre-volant. Conçue et développée en interne, cette protection « groupée » et à la référence unique répond idéalement aux contraintes de stockage et du temps nécessaire à sa gestion.

Marquage possible

Le set intégral 5 en 1 est fourni en rouleaux de 200 unités (réf. 21640), limitant la place nécessaire à son stockage. Disponible en neutre au prix catalogue de 87,97 euros HT, ce produit peut également être marqué aux logos du constructeur ou du garage, par exemple.


3M propose une protection auditive active

L’industriel américain, qui dispose déjà d’une large offre en termes d’équipement de protection individuelle, annonce la disponibilité d’une nouvelle génération de casques électroniques à modulation sonore.
Particulièrement efficace sitôt qu’il est nécessaire de se protéger d’un haut niveau de bruit tout en ayant besoin de rester à l’écoute de son entourage, le casque actif à modulation sonore concilie ces deux états par définition contradictoires.

Un casque actif enfin accessible

Le casque Peltor ProTac III de 3M a pour vocation de démocratiser l’accès aux protections auditives « intelligentes » dans tous les milieux professionnels ; là où il est impératif de pouvoir communiquer sans aucun compromis concernant la préservation du capital auditif.

Les utilisateurs de protections auditives passives savent à quel point il est déconcentrant de devoir les enlever, ne serait-ce que quelques minutes, pour répondre au téléphone par exemple. L’utilisation d’un équipement actif tel que celui-ci autorise la connexion d’une radio, d’un téléphone ou d’un lecteur MP3 grâce à une prise jack 3,5 mm. Les coquilles des oreillettes protègent l’électronique du casque de l’oxydation liée à l’humidité et à la sudation. Avec deux piles AA, le Peltor ProTac affiche100 heures d’autonomie, qu’il préserve grâce à un arrêt automatique programmé passé quatre heures d’inactivité.

Deux versions disponibles

Cet équipement se distingue aussi par une grande simplicité d’utilisation puisque son fonctionnement se résume à l’emploi de trois boutons : marche, arrêt et réglage sonore.
Le casque est disponible en deux versions de – 26 et – 32 db, respectivement affichées à 95 et 105 euros HT.


Assurance Auto : la résiliation a la cote !

D'après un sondage réalisé par le comparateur Minute-Auto, 81% des assurés ont changé d'assurance automobile en 2016. Et près d'un quart l'ont fait grâce à la loi Hamon.

La confiance n'est toujours pas de mise entre les compagnies d'assurance et les assurés. C'est pour le moins ce qui ressort d'un sondage réalisé récemment par le comparateur Minute-Auto.fr (il a été réalisé fin décembre auprès d'un panel de 1249 assurés automobiles français). Il en ressort que 83 % des Français considèrent qu'assurer une voiture est trop cher et que les contrats d'assurance sont jugés peu transparents à 75 %. Rien d'étonnant, donc, si 81 % des assurés ont déclaré avoir changé d'assurance en 2016, près d'un quart l'ayant fait grâce à la loi Hamon. Et bien évidemment, nombre d'entre eux sont passés par des comparateurs en ligne, outils utilisés par les 18-29 ans à 45 % et par les plus de 30 ans à 22 %.

"Les sondés préfèrent encore s'adresser aux assureurs ayant pignon sur rue à 73%, relève toutefois Minute-Auto. Plus de la moitié des personnes interrogées avouent avoir peur pour leur vie privée avec les services en ligne et ces derniers n'ont pas encore fait leur nid dans la conscience collective." Parmi les 9% qui ont accordé leur confiance à l'assurance en ligne, 87% ont toutefois réalisé des économies.

Les garanties actuellement les plus présentes dans les contrats ? Elles incluent aujourd'hui, dans l'ordre décroissant, la garantie corporelle du conducteur (78 %), la garantie bris de glace (77 %) et l'assistance zéro kilomètre (59 %). La garantie panne mécanique n'est  présente pour sa part qu'à hauteur de 23 %.

32% : Pourcentage d'assurés automobiles ne connaissant pas encore l'e-constat.